Nouvelle encore inachevée: SEUL A BRON
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Nouvelle encore inachevée: SEUL A BRON
Seul à Bron
Il était une fois un bachelier qui , en enterrant sa vie de lycéen, pensait pouvoir rattraper ces moments si luxueux et intenses de la jeunesse que quatre années corsetées dans le règlement intérieur d’un lycée privé catholique avait dérobé à une adolescence post-pubère toujours désireuse. La sentence du baccalauréat tombait désormais, couronnée du sceau sacré du ministère de l’éducation nationale et, cerise sur le gâteau, d’une mention bien dont Grégory (car c’est son nom) se dit qu’elle allait renflouer les discussion familiales, comblant pour quelques jours ses petites détresses vaniteuses qui tiennent lieu chez lui de ‘sens de l’existance’.
Non, Gregory ne connaitra pas une mort atroce étouffé dans un sac, non, il ne sera pas l’objet d’une légende qui hante encore aujourd’hui l’eau vigoureuse et glacée de la Vologne, non, Gregory ne sera pas non plus celui qui émut la France entière par son visage angélique illuminé d’ardents projecteurs , par la voix haute perchée vibrant de ce corps sensible et maladif, et enfin par son épilogue tragique qui bouleversa même les journalistes de public au point que ces derniers , tellement le scoop fut inébranlable, se permirent de glisser entre les deux grossièretés littéraires habituelles plaquées sous chaque image d’introduire une subordonnée relative…. Non, Gregory ne perpétuera pas la lignée de ceux qui à leur dépend firent de ce nom commun un culte nauséabond ou viennnt se goinfrer en cœur comme des frères de porcherie les névroses des téléspectateur blasés et le groin vitré affublé d’un micro des journalistes à sensation.
Gregory a eut son bac et c’est une grande nouvelle pour lui, pour ses parents qui l’aiment et qui veulent qu’il réussisse, pour sa grand-mère, si rarement consultée, qu'elle se leva de son fauteuil à bascule tel Roosvelt pour aller poster une carte façon anniversaire avec trois lignes et un billet de 20 Euros. Voila donc Gregory tout frétillant des espoirs qu’offre la vie d’étudiant. Il rêve déjà des amphithéâtres fourmillant de vibrantes déclamations, des soirées improbables presque mystiques ou des étudiants disposés en cercle à la manière des poètes disparus partagent quelques bon pétards en réajustant leur chevelure qu’une brise estivale fait frissonner comme l’herbe verdoyante du campus; au final il s’éprend des perspective d’une sorte de bohème estudiantine ou l’errance ribaldienne le guide dans les facs, dans les rues branchées ou s’entassent les bars, dans les transports en commun , dans les restos U , et dans les locaux administratifs pour présenter sa candidature à la BOURSE EXPLORA SUP.
Il était une fois un bachelier qui , en enterrant sa vie de lycéen, pensait pouvoir rattraper ces moments si luxueux et intenses de la jeunesse que quatre années corsetées dans le règlement intérieur d’un lycée privé catholique avait dérobé à une adolescence post-pubère toujours désireuse. La sentence du baccalauréat tombait désormais, couronnée du sceau sacré du ministère de l’éducation nationale et, cerise sur le gâteau, d’une mention bien dont Grégory (car c’est son nom) se dit qu’elle allait renflouer les discussion familiales, comblant pour quelques jours ses petites détresses vaniteuses qui tiennent lieu chez lui de ‘sens de l’existance’.
Non, Gregory ne connaitra pas une mort atroce étouffé dans un sac, non, il ne sera pas l’objet d’une légende qui hante encore aujourd’hui l’eau vigoureuse et glacée de la Vologne, non, Gregory ne sera pas non plus celui qui émut la France entière par son visage angélique illuminé d’ardents projecteurs , par la voix haute perchée vibrant de ce corps sensible et maladif, et enfin par son épilogue tragique qui bouleversa même les journalistes de public au point que ces derniers , tellement le scoop fut inébranlable, se permirent de glisser entre les deux grossièretés littéraires habituelles plaquées sous chaque image d’introduire une subordonnée relative…. Non, Gregory ne perpétuera pas la lignée de ceux qui à leur dépend firent de ce nom commun un culte nauséabond ou viennnt se goinfrer en cœur comme des frères de porcherie les névroses des téléspectateur blasés et le groin vitré affublé d’un micro des journalistes à sensation.
Gregory a eut son bac et c’est une grande nouvelle pour lui, pour ses parents qui l’aiment et qui veulent qu’il réussisse, pour sa grand-mère, si rarement consultée, qu'elle se leva de son fauteuil à bascule tel Roosvelt pour aller poster une carte façon anniversaire avec trois lignes et un billet de 20 Euros. Voila donc Gregory tout frétillant des espoirs qu’offre la vie d’étudiant. Il rêve déjà des amphithéâtres fourmillant de vibrantes déclamations, des soirées improbables presque mystiques ou des étudiants disposés en cercle à la manière des poètes disparus partagent quelques bon pétards en réajustant leur chevelure qu’une brise estivale fait frissonner comme l’herbe verdoyante du campus; au final il s’éprend des perspective d’une sorte de bohème estudiantine ou l’errance ribaldienne le guide dans les facs, dans les rues branchées ou s’entassent les bars, dans les transports en commun , dans les restos U , et dans les locaux administratifs pour présenter sa candidature à la BOURSE EXPLORA SUP.
zarathoustra- Sorti de sa boîte
- Messages : 43
Date d'inscription : 13/05/2008
Re: Nouvelle encore inachevée: SEUL A BRON
J'ai enfin lu.
Franchement c'est pas mal car il y a une certaine finesse dans les idées. Tu retranscris bien les espoirs étudiants dont on avait déjà parlé.
Par contre deux petites remarques:
-phrases un peu lourdes par moments, ce qui rend la lecture un peu ardue
-fautes d'orthographes Je sais que c'est un forum mais dans un roman ça fait un peu tâche.
Sinon tu continues quand? Car on a bien envie de voir le désenchantement s'opérer
Franchement c'est pas mal car il y a une certaine finesse dans les idées. Tu retranscris bien les espoirs étudiants dont on avait déjà parlé.
Par contre deux petites remarques:
-phrases un peu lourdes par moments, ce qui rend la lecture un peu ardue
-fautes d'orthographes Je sais que c'est un forum mais dans un roman ça fait un peu tâche.
Sinon tu continues quand? Car on a bien envie de voir le désenchantement s'opérer
Re: Nouvelle encore inachevée: SEUL A BRON
Baptiste a écrit:J'ai enfin lu.
Franchement c'est pas mal car il y a une certaine finesse dans les idées. Tu retranscris bien les espoirs étudiants dont on avait déjà parlé.
Par contre deux petites remarques:
-phrases un peu lourdes par moments, ce qui rend la lecture un peu ardue
-fautes d'orthographes Je sais que c'est un forum mais dans un roman ça fait un peu tâche.
Sinon tu continues quand? Car on a bien envie de voir le désenchantement s'opérer
Merci pour les encouragements. Je vais bientôt continuer. Le pauvre Gregory va tomber de haut.Fait chier les fautes d'orthographes!
zarathoustra- Sorti de sa boîte
- Messages : 43
Date d'inscription : 13/05/2008
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